Lors de la  première société Paléolithique, un rasoir fait de pierre aiguisée, était utilisé par le prêtre pour couper les cheveux et renouveler l’énergie de l’âme.

À ce moment, les artistes coiffeurs étaient très respectés.

En Grèce au 5e siècle avant J.C., la tendance était au cheveux ondulés et aux barbes. Le “barbershop” ’était considéré comme un lieu de rencontre, un “club” pour homme.

Lors du Moyen-Âge, ont les appelait, les barbiers/chirurgiens. Étant les personnes les plus cultivés, les barbiers devaient procéder à des interventions chirurgicales et à des extractions dentaires. Utilisant plusieurs instruments pour autre chose que couper des cheveux ou tailler des barbes, la populaire enseigne bleu, blanche et rouge, est née. Le bâton qui est si facile à distinguer de nos jours, était installé à l’extérieur pour que les patients reconnaissent l’établissement. Représenter par le bleu pour les veines, le blanc pour les bandages qui servait à recueillir le sang et le rouge pour le sang lui-même.

En l’an 1745, le roi Georges II de la Grande-Bretagne, revendique et sépare les deux tâches. Malheureusement, les barbiers ont perdu en popularité.

Pendant les 18ème, 19ème et 20ème siècles, les boutiques de coiffeur ont continué , simple, minimisée, pourtant importantes dans les communautés du monde entier. Elles sont restées, à leur façon, une sorte d’oasis pour les hommes pour échapper aux embêtements et au stress de la vie quotidienne.

À l’origine, le coiffeur/barbier s’occupait de la barbe et de la chevelure des hommes. La plupart du temps, il exerçait son métier le dimanche, lorsque la gent masculine se rendait à sa séance de rasage dominical. De nos jours, le coiffeur/barbier offre une gamme complète de services esthétiques. Il rase, met en forme les moustaches, coupe les cheveux, applique des soins. Son métier est un mélange de tradition et de modernité.

En conclusion, aujourd’hui pour devenir barbier, il faut déjà avoir effectué une formation de coiffure, puis faire des stages de barbier auprès de formateurs agréés.